Petite grève aménagée située à deux pas du port du Légué, elle tient sa renommée grâce aux cabanons colorés nichés sur la falaise. Leur installation date de
1936 pour les plus anciens : époque des premiers congés payés. Elle offre un point de vue sur les vestiges de la tour médiévale de Cesson, construite en 1395 sur ordre du duc de Jean IV de Bretagne.

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Bus TUB ligne E - arrêt "Le Valais"

Classée Réserve naturelle depuis 1998, toute cette nature sauvage a bien failli disparaître au cours du XXe siècle. Une décharge y siégeait un peu plus haut, des projets de port ou même d’aéroport circulaient. Après vingt longues années de combat mené notamment par des naturalistes et des riverains, le fond de la Baie de Saint-Brieuc a retrouvé son calme et sa sérénité d’origine. Ce paysage de filières d’eau encerclant des prés salés, totalement recouvert lors des grandes marées, accueille chaque année une diversité d’oiseaux venus de tout horizon.

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Bus TUB ligne 30 - arrêt "Boutdeville"

Nichée au cœur de la Réserve naturelle de la Baie de Saint-Brieuc, la Maison de la Baie, labellisée Maison nature, constitue un véritable sas d’entrée pour découvrir un patrimoine naturel unique et fascinant. À marée montante, les oiseaux se rapprochent de la côte. C’est l’occasion d’admirer le tadorne de Belon, magnifique canard marin, l’huitrier-pie, présent toute l’année, et le ballet des oies bernaches.

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Située sur un point stratégique de la baie de Saint-Brieuc, face aux pointes du Roselier et de Cesson, elle domine la Réserve naturelle de la Baie, classée en 1998. D’octobre à mars, les oiseaux migrateurs viennent se nicher dans les anses nourricières du fond de la Baie. Un belvédère a été aménagé sur la plateforme de l’ancien blockhaus de l’armée d’occupation allemande pendant la 2nde Guerre Mondiale, pour défendre le mur de l’Atlantique.

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Dès le début du 20e siècle, la plage était un lieu de rassemblement populaire, à l’occasion de grands événements sportifs ou de fêtes religieuses. Le village de Lermot était autrefois composé de pêcheurs-cultivateurs qui arpentaient les grèves, pour poser des arouels (lignes de fond), pratiquer la pêche à la gabarre (senne mobile), et recueillir le produit des pêcheries. Elle est aujourd’hui un lieu de baignade apprécié des Hillionais, il paraîtrait que l’eau y est plus chaude qu’ailleurs.

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